Le gouvernement fédéral doit soutenir l’industrie pétrolière et gazière partout au pays

20.09.2016

Ottawa, mardi 20 septembre 2016 – L’Association pétrolière et gazière du Québec (APGQ) vient en appui à la pétition déposée aujourd’hui par l’initiative « Oil Respect ». Cette pétition signée par plus de 34 000 Canadiens et Canadienne vise à soutenir notre industrie et ses travailleurs d’un océan à l’autre. Elle demande également au gouvernement fédéral de promouvoir les hydrocarbures canadiens de même que le développement d’infrastructures de transport sécuritaires pour le pétrole et le gaz naturel.

Le Canada est un leader mondial du développement des ressources naturelles, y compris en matière d’hydrocarbures. « Nous considérons que le Québec doit pleinement faire partie de l’industrie pétrolière et gazière du pays et lorsque l’on parle d’hydrocarbures canadiens, ceci implique aussi ceux que nous produirons éventuellement au Québec», a indiqué David Lefebvre, directeur général de l’APGQ. À ce chapitre, il a rappelé que chaque année, le Québec importe pour environ 12 milliards de dollars d’hydrocarbures.

L’objectif essentiel de l’APGQ est de faire du Québec un producteur de ces ressources indispensables à notre société moderne. « Notre but est de produire localement afin de favoriser notre indépendance énergétique. Toutefois, l’économie du Québec n’évolue pas en vase clos et nous sommes conscients que le Québec devra continuer d’importer une partie importante des ressources en hydrocarbures qu’il consomme et transforme », a mentionné David Lefebvre.

« Nous avons aussi une industrie pétrochimique, une industrie manufacturière et des raffineurs qui dépendent des approvisionnements pétroliers et gaziers de l’extérieur», a-t-il ajouté. Par exemple, le polyéthylène est à base d’éthane et son usage est à la base de milliers d’emplois en pétrochimie au Québec. La récente politique énergétique du Québec reconnaît d’ailleurs l’importance de la plasturgie dans short term loans with no credit checks notre économie, et se préoccupe des approvisionnements qui la nourrissent.

 

Soutenir cheap secured loans les travailleurs

Notre soutien d’aujourd’hui est également un encouragement envers les travailleurs de l’industrie qui ont perdu leur emploi et qui sont en situation de précarité. En 2014, plus de 5 000 Québécois travaillaient dans l’industrie un peu partout au pays. En 2016, ce nombre a chuté drastiquement au fil du ralentissement et du retard de certains projets de développement. De plus, plusieurs entreprises québécoises ont été touchées debit consolidation directement par l’absence d’ouvrage et elles ont besoin de nouveaux projets pour participer à la relance.

L’APGQ mise d’abord et avant tout sur la production locale pour créer des emplois de qualité et de la richesse au Québec, mais nous soutenons aussi le développement de l’industrie partout ailleurs au pays. Que ce soit dans des métiers de la construction, l’approvisionnement en biens et services, l’ingénierie, etc., nos entreprises locales sont prêtes à mettre l’épaule à la roue et à bénéficier de projets nationaux d’envergure.

Dans le respect des conditions émises par le gouvernement du Québec dans sa nouvelle politique énergétique, nous demandons donc au gouvernement fédéral de soutenir l’industrie pétrolière et gazière ainsi que ses travailleurs. Nous considérons que les projets de transport de la ressource sont essentiels pour le développement du pays, dans la mesure où ils permettent aussi le développement du gaz naturel et du pétrole du Québec et son plein accès aux marchés.

 

À propos de l’APGQ

L’APGQ a été créée afin d’encourager le dialogue sur le potentiel d’une nouvelle industrie au Québec : l’industrie pétrolière et gazière. Les ressources énergétiques du Québec peuvent être développées de façon sécuritaire et dans le respect de l’environnement, tout en contribuant à la croissance cash iphone économique du Québec. Notre objectif est de démontrer les intérêts communs et les bénéfices mutuels potentiels que peut en retirer autant la population du Québec que nos membres.