L’eau utilisée pour la fracturation d’un schiste est non potable et est prélevée directement de divers cours d’eau, sous réserve d’une autorisation préalable du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des Parcs (MDDEP). La réglementation en vigueur limite les prélèvements à moins de 20 % du débit moyen le plus bas du cours d’eau en été, afin d’éviter des fluctuations de son niveau et de protéger les écosystèmes aquatiques ainsi que les autres usages.
La fracturation d’un schiste requiert environ 12 000 mètres cubes d’eau, soit moins que ce qu’on utilise pour l’entretien d’un terrain de golf pendant un mois. La quantité d’eau utilisée pour le forage de 200 puits horizontaux équivaut à 1 % des 500 millions de mètres cubes utilisés annuellement par l’industrie des pâtes et papiers. C’est 100 fois moins.
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